L'UMP poursuit l'ouverture : un ex-FN candidat UMP aux municipales
L’UMP adoube l’ex-FN Simonpieri pour Marignane, nous dit Libération.
La suite logique du siphonnage des électeurs et des idées du FN par l'UMP et son président alors candidat à la présidentielle française.
On rappelera qu'il fut élu conseiller général des bouches du rhône (front national) avec 63,9 % des suffrages exprimés. Lors de la scission du Front national quelques mois plus tard, il rejoint les rangs du Mouvement national républicain de Bruno Mégret.
En 2001, il est réélu maire de Marignane avec 62,5% des voix au deuxième tour sous l'étiquette DVD, s’appuyant notamment sur l’électorat pied-noir.
Élu conseiller général du canton de Marignane, en mars 2004, avec 72,75% des voix face à Léonard Faraci, candidat du Front national, Daniel Simonpieri rejoint le groupe UMP-UDF et apparentés du conseil général des Bouches-du-Rhône.
Aujourd'hui, l'UMP préfère intégrer cet extrêmiste plutôt que de risque de perdre la ville. Une décision qu'on peut qualifier de pragmatique : peu de choses en effet séparent aujourd'hui la politique de l'UMP de certaines thèses du FN... Ce dont les électeurs FN ne disconviennent pas, eux qui ont subitement choisi de rallier Sarkozy plutôt que Le Pen.
Sources : wikipedia
La suite logique du siphonnage des électeurs et des idées du FN par l'UMP et son président alors candidat à la présidentielle française.
On rappelera qu'il fut élu conseiller général des bouches du rhône (front national) avec 63,9 % des suffrages exprimés. Lors de la scission du Front national quelques mois plus tard, il rejoint les rangs du Mouvement national républicain de Bruno Mégret.
En 2001, il est réélu maire de Marignane avec 62,5% des voix au deuxième tour sous l'étiquette DVD, s’appuyant notamment sur l’électorat pied-noir.
Élu conseiller général du canton de Marignane, en mars 2004, avec 72,75% des voix face à Léonard Faraci, candidat du Front national, Daniel Simonpieri rejoint le groupe UMP-UDF et apparentés du conseil général des Bouches-du-Rhône.
Aujourd'hui, l'UMP préfère intégrer cet extrêmiste plutôt que de risque de perdre la ville. Une décision qu'on peut qualifier de pragmatique : peu de choses en effet séparent aujourd'hui la politique de l'UMP de certaines thèses du FN... Ce dont les électeurs FN ne disconviennent pas, eux qui ont subitement choisi de rallier Sarkozy plutôt que Le Pen.
Sources : wikipedia
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