Sarkozy pas si à l'aise devant l'Eurogroupe
Suite à mon message précédent, je découvre l'article de Jean Quatremer dans Libération.
Où on découvre la réalité, passée inaperçue en France : Sarkozy s'est fait remonter les bretelles, comme on pouvait s'y attendre, par les ministres des finances européens, qui ont assez mal pris l'intention du président français de s'asseoir sur les engagements du gouvernement précédent en matière de réduction des déficits...
Merci, M. Quatremer.
Où on découvre la réalité, passée inaperçue en France : Sarkozy s'est fait remonter les bretelles, comme on pouvait s'y attendre, par les ministres des finances européens, qui ont assez mal pris l'intention du président français de s'asseoir sur les engagements du gouvernement précédent en matière de réduction des déficits...
«Nicolas Sarkozy ne s’attendait manifestement pas à cette levée de boucliers», raconte un témoin : «Cela a été un feu nourri contre la France. Tous les minPublier le message blogistres se sont exprimés pour lui dire leur inquiétude.» Un accrochage tendu a même eu lieu avec Peer Steinbruck, le grand argentier allemand, furieux de voir la France distribuer treize milliards de cadeaux fiscaux et renvoyer l’équilibre des comptes publics à 2012, à la fin du quinquennat, alors que les treize pays de la zone euro se sont engagés en avril sur la date de 2010.
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