Rétrolien : la face cachée de la dette
C'est ici, et c'est bien.
Où comment l'on voit que les dépenses publiques restent constantes en pourcentage du PIB depuis 25 ans.
Où comment l'on voit que la France n'est pas "en faillite", comme certains le martèlent.
Où comment l'on voit que ce qui augmente dans les dépenses, ce sont les dépenses sociales :
Où l'on voit que la dette explose depuis 1993.
Où comment l'on voit que les dépenses publiques restent constantes en pourcentage du PIB depuis 25 ans.
Où comment l'on voit que la France n'est pas "en faillite", comme certains le martèlent.
Où comment l'on voit que ce qui augmente dans les dépenses, ce sont les dépenses sociales :
C’est en réalité la part des dépenses sociales qui a particulièrement augmenté malgré la mise en œuvre de multiples plans de maîtrise des dépenses de santé. La part des dépenses sociales dans le PIB est passée de 27,2 à 29,1% du PIB entre 1984 et 2004. Cette tendance est naturelle dans une société de progrès où l’espérance de vie s’allonge et où la demande de bien être se développe.Où l'on voit que la France possède une solide réserve d'Epargne.
Où l'on voit que la dette explose depuis 1993.
la dette publique en France ne dépassait pas 25% du PIB en 1983, lorsque la gauche était accusée d’avoir excessivement nationalisé. Elle était de 36, 5 % en 1991, avant l’entrée en vigueur du traité de Maastricht… Elle explosa littéralement sous les hospices d’Edouard Balladur et d’Alain Juppé entre 1993 et 1997 où elle atteignit 58, 5 % du PIB, plaçant quasiment la France aux limites autorisées par le traité. Cette dette fut précisément la cause d’une certaine dissolution de l’Assemblée nationale qui devait légitimer un nouveau plan d’austérité préalable à l’entrée dans l’euro… La droite fut battue et la dette baissa à 56 % du PIB en 1999. De retour aux affaires en 2002, la droite s’engagea à nouveau sur le chemin de la rupture avec gaullisme. Elle mit en chantier la deuxième réforme des retraites et de l’assurance maladie, de nouvelles baisses d’impôts sur les hauts revenus et une nouvelle vague de privatisations (dont une partie fut consacrées en partie au désendettement !). Le taux d’endettement culmine aujourd’hui à 65 % du PIB…
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