Prendre aux sans-papiers plutôt qu'aux épargnants
C'est Yves de Kerdrel au clavier.
Et c'est du lourd.
Passons vite les premiers paragraphes convenus sur les pauvres créateurs de richesse spoliés de 1,1%.
Précipitons nous, gourmands, sur le dernier paragraphe :
Vous étiez prévenus : c'est du très lourd !Si Nicolas Sarkozy estime normal «dans un effort de solidarité» que chacun aide les plus pauvres à sortir de l'exclusion, il aurait pu penser aussi à faire contribuer les travailleurs clandestins en tirant un trait sur l'aide médicale d'État, qui coûte 800 millions d'euros par an, et à mettre fin à quelques gaspillages comme les 400 millions d'euros réservés à l'audiovisuel extérieur, plutôt que de frapper une fois de plus ceux qui créent des richesses.
Vous n'aviez pas encore saisi le concept de France d'après ? Bienvenue !
Libellés : fiscalité, France d'après